Elles étaient la propriété majoritairement de Cazalins, qui pouvaient aussi être résiniers. Parmi d’autres : Henri Villenave, en association (gazaille) avec son beau-père Emile Cazeaux, Jean Daugey, que l’on voyait encore au milieu des années 1950, au Courneau, sac au dos, bâton à la main, son grand béret landais et son chien labrit, deux frères, Paul et Justin Duvignères… Ces bêtes, formant parfois des troupeaux importants (50 à 100 têtes), élevées pour la viande, vivaient en permanence dans la forêt, en liberté. Elles étaient donc assez sauvages. «De caractère belliqueux si elles étaient vraiment provoquées, mais seuls les taureaux pouvaient être dangereux, ou bien les vaches ayant des petits». Partons sur leurs traces avec comme guide Edgard Courtès et son ami Henri dit Riquet Taffard.